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Nous ne pouvons pas nous permettre de retarder la prise en main des produits chimiques

Cette photo prise le 16 janvier 2022 montre un homme regardant de la fumée planer au-dessus des maisons par une journée polluée à Oulan-Bator, la capitale de la Mongolie.  (Photo de BYAMBASUREN BYAMBA-OCHIR / AFP) (Photo de BYAMBASUREN BYAMBA-OCHIR/AFP via Getty Images)

BYAMBASUREN BYAMBA-OCHIR / AFP via Getty Images

EN 1855, Michael Faraday écrivit une lettre au Parlement britannique alertant les députés sur l’état de la Tamise, qui servait à la fois d’égout et de source d’eau potable. Il avait mené une expérience dans laquelle il coulait des morceaux de papier pour voir à quel point ils disparaissaient de la vue dans l’eau trouble. À peine une profondeur du tout, il a trouvé, concluant que la rivière était devenue un cloaque. “Si nous négligeons ce sujet, nous ne pouvons pas espérer le faire en toute impunité”, a-t-il averti.

Le Parlement a négligé la question et a été puni. En 1858, la Grande Puanteur…


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